Comment comprendre le problème érectile ?

Pour déterminer les facteurs associés aux difficultés érectiles, il peut être utile d’examiner la manière dont la réponse sexuelle fonctionnelle est déterminée. Physiologiquement, certaines conditions doivent être réunies pour obtenir une érection, la plus importante étant un stimulus du cerveau ; de plus, les nerfs du pénis doivent fonctionner correctement, il doit y avoir un apport suffisant de sang artériel au pénis et un milieu endocrinien approprié, ainsi qu’une stimulation sexuelle efficace et un état psychologique favorable. 

Les facteurs du dysfonctionnement érectile

Malgré une récente augmentation de la recherche en matière de sexualité, les facteurs psychologiques censés affecter le traitement de l’information n’ont pas été clairement définis. Le traitement du dysfonctionnement érectile est possible par le biais de certains médicaments disponibles en vente sur la toile via des sites spécialisés. Pour venir à bout de votre souci, trouvez la solution dans ce bon plan, acheter male extra site officiel.

Des chercheurs suggèrent que la réponse sexuelle fonctionnelle chez l’homme dépend d’une interaction complexe entre les mécanismes cognitifs (traitement de l’information) et les mécanismes du cerveau central, y compris l’excitation sexuelle et d’autres états émotionnels, et les processus physiologiques périphériques tels que ceux impliqués dans l’érection du pénis.

En effet, la réponse sexuelle pourrait être décrite comme un cycle psychosomatique dans lequel la conscience des changements dans les organes génitaux se répercute pour influencer le système nerveux central de manière croissante, excitatrice ou inhibitrice. Le cycle est sensible à de nombreux déclencheurs : une pensée, une image ou une caresse érotique à caractère sexuel, qui sont évalués comme sexuels en fonction de l’expérience d’apprentissage antérieure et des influences culturelles.

Les réponses sexuelles périphériques, par exemple, l’érection et l’orgasme, sont activées par des signaux neuronaux qui descendent le long de la moelle épinière et par les centres réflexes ; l’apport sensoriel supplémentaire des réponses périphériques, combiné à une stimulation appropriée continue et au traitement continu de l’information, entraîne une augmentation de l’excitation sexuelle et de l’orgasme.